Maëlle Pansard crée sa marque en 2004, d’une passion pour la mode éthique et sur-mesure. L’identité de la marque repose sur la qualité, le respect de l’environnement, une attention particulière portée à l’éthique de la production ainsi qu’une confection en France.
Les collections sont créées en réponse aux attentes des clientes, qui privilégient des tissus écologiques, certifiés et parfois issus du recyclage, ainsi que des pièces en série limitée pour éviter le gaspillage.
Alors pourquoi mener une étude environnementale ?
Chez Phalaenopsis, notre engagement en faveur d’une mode plus durable ne se limite pas aux mots. Conscients de l’impact environnemental de l’industrie textile, nous avons souhaité aller plus loin en mesurant précisément l’empreinte de nos produits. C’est dans cette optique que nous avons mené une étude d’impact environnemental en collaboration avec le cabinet indépendant Lucioles Conseil, spécialisé en éco-conception et en analyse du cycle de vie. Cette étude a pu être réalisée grâce au soutien de l’ADEME (Agence de la transition écologique), dans le cadre de son dispositif TEXHABI, afin de pouvoir préparer l’Affichage Environnemental et sa signalétique publiée le 1er octobre 2025.
Sur une sélection de 12 vêtements représentatifs de notre collection – incluant des pièces emblématiques de notre vestiaire éthique – nous avons analysé chaque étape de leur cycle de vie : de l’extraction des matières premières à leur fin de vie, en passant par la fabrication (tissage, teinture, confection), le transport, et l’entretien.

Tout commence par collecter les données qui serviront au calcul du coût environnemental.
L’objectif ? Identifier de manière factuelle les postes les plus impactants pour mieux les repenser et les améliorer.
Grâce à cette approche scientifique, nous pouvons désormais établir un plan d’action concret pour réduire davantage notre empreinte carbone et notre consommation de ressources.

Concrètement, que peut-on améliorer sur nos vêtements pour qu’ils soient encore moins polluants ? Voici les leviers d’écoconception étudiés :
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Remplacer la teinture par une teinture végétale
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Remplacer l’impression par un ecoprint avec des fleurs
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Supprimer l’impression
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Alléger l’article
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Privilégier du lin ou de la viscose qui sont faites à partir de fibres naturelles et artificielles
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Réduire le nombre de matières composant un même vêtement

Sur les 12 articles étudiés, en moyenne, la mise en œuvre de ces leviers entraîne une réduction d’impact - aussi appelée “écoefficience” - de 27% en utilisant la version 7.0.0 d’Ecobalyse, officielle pour l’Affichage Environnemental.
Cette démarche s’inscrit dans la volonté de Phalaenopsis de rendre la mode plus transparente et responsable. À travers cette étude, nous posons les bases d’un travail d’amélioration continue, que nous souhaitons partager avec nos clientes, nos partenaires et notre communauté. Car nous sommes convaincus que la transition écologique de la mode ne se fera qu’avec de la rigueur, de l’honnêteté et de la coopération.
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Chez Phalaenopsis, chaque vêtement raconte une histoire : celle d’un choix réfléchi, d’un geste pour la planète et d’une vision d’avenir.
Nous ne cherchons pas seulement à proposer de beaux vêtements — nous voulons donner du sens à la façon dont ils sont conçus, fabriqués et portés.
Acheter une pièce Phalaenopsis, c’est adhérer à une démarche consciente, c’est revendiquer une mode plus juste, où la beauté se conjugue avec la responsabilité.
Nous croyons qu’une mode responsable ne se résume pas à des mots, mais à des actes mesurables et transparents. C’est pourquoi nous poursuivrons ce travail d’évaluation et de partage, afin que chaque cliente puisse choisir en connaissance de cause, avec confiance et fierté.
Parce qu’au fond, faire évoluer la mode, c’est aussi apprendre à mieux choisir, mieux comprendre… et surtout, mieux aimer ce que l’on porte.

